La différence entre les riches et les pauvres ne se mesure pas qu’au solde de leur compte en banque.
Les personnes ayant réussi financièrement ont des habitudes et un mode de vie différent des autres.
C’est grâce à leur discipline personnelle solide et à une optimisation de leur emploi du temps qu’elles obtiennent des résultats supérieurs à ceux de la majorité.
Voici 8 différences choquantes entre les riches et les pauvres qui expliquent pourquoi ces derniers ont du mal à améliorer leur situation.
1. Les riches prennent davantage soin de leur santé que les pauvres
Les riches ont compris l’importance d’entretenir leur capital santé. Ils vont plus régulièrement chez le médecin que les pauvres et n’attendent pas d’être malades pour faire des examens de contrôle ou participer aux protocoles de dépistage.
Ils savent que la santé est le plus important des investissements. C’est elle qui permet de continuer à travailler et à s’occuper de ses affaires. Des problèmes qui pourraient être réglés de manière simple, comme une carie, peuvent prendre des proportions importantes s’ils ne sont pas rapidement traités. Leurs conséquences peuvent conduire à une perte de revenu importante : hospitalisation de longue durée, traitements aux longs cours et arrêts maladie à répétition ont un coût. Pour couvrir leurs frais de santé, ils choisissent une mutuelle avec des plafonds de remboursement élevés, même si les cotisations sont plus chères.
Les riches savent aussi qu’une bonne santé ne passe pas uniquement par les soins médicaux, mais doit être entretenue chaque jour grâce à un mode de vie sain. Ils font donc particulièrement attention à leur alimentation. Ils évitent les fast-foods et les aliments transformés, qui sont riches en additifs, en sucres et en graisse. Ils cuisinent eux-mêmes leurs repas, privilégient les aliments frais et biologiques. La nourriture de qualité à un coût, mais les riches préfèrent appliquer le principe de manger moins pour manger mieux, plutôt que d’acheter de grandes quantités d’aliments pauvres en nutriments.
Les pauvres, eux, ne voient pas toujours l’intérêt de dépenser pour leur santé. Ils ont tendance à attendre d’être gravement malades avant d’aller chez le médecin. Ils diffèrent leurs soins dentaires et ne font pas contrôler régulièrement leur vue. Ils ont tendance à vivre dans l’instant présent sans anticiper les répercussions futures d’une maladie. Cela les pousse à repousser les examens de dépistage, car ils ont l’impression d’être en bonne santé. Les pauvres choisissent la mutuelle la moins chère et considèrent les cotisations comme une perte d’argent.
Ils ne prennent pas suffisamment soin de ce qu’ils mangent et sont plus sensibles au marketing des industriels que les riches. Ils prennent davantage en compte le plaisir procuré par un aliment, plutôt que ses qualités nutritionnelles. Ils fréquentent les fast-foods et mangent souvent des plats préparés, sans prendre conscience qu’ils s’exposent à de nombreuses maladies, telles que l’obésité, le diabète ou le cholestérol. Ils privilégient la quantité au détriment de la qualité.
2. Les riches lisent plus de livres que les pauvres
Les personnes qui ont réussi financièrement connaissent l’importance de la lecture. Les livres permettent de se cultiver, d’améliorer son orthographe et d’acquérir de nombreuses connaissances utiles pour investir, gérer son entreprise ou améliorer son bien-être. Lorsqu’ils lisent de la fiction, les riches préfèrent les ouvrages des auteurs classiques, mais leur lecture de prédilection reste les ouvrages techniques, grâce auxquels ils pourront apprendre et mettre à jour leurs connaissances.
Les personnes moins aisées accordent souvent peu d’importance à la lecture. Elles lisent le plus souvent des magazines, des bandes dessinées ou des romans de fiction à succès et trouvent les grands ouvrages techniques trop complexes. Elles considèrent la lecture comme un simple loisir, sans réaliser tout son potentiel. On les entend souvent dire que les livres coûtent trop cher, mais cet obstacle peut être facilement contourné en allant à la bibliothèque municipale. Les pauvres préfèrent souvent des activités moins stimulantes pour l’esprit, comme les jeux vidéo, aller au cinéma, voir une comédie ou surfer sur les réseaux sociaux.
3. Les riches font plus de sport que les pauvres
La plupart des personnes riches fait du sport plusieurs fois par semaine. Que ce soit chez elles, en salle ou dans un club, elles pratiquent assidûment une activité physique. Les avantages à agir ainsi sont nombreux. Être sportif permet de maintenir le corps en santé en faisant travailler les muscles et le cœur, mais pas seulement. Cela permet aussi d’améliorer la concentration, d’évacuer le stress, de développer le goût du dépassement de soi et de gagner en assurances. Ces bénéfices sont bien connus de ceux qui ont réussi, ils en tirent les enseignements et les mettent à profit.
Les pauvres, eux, se donnent rarement la peine de faire du sport après leur travail ou pendant leurs jours de repos. Ils préfèrent sortir, se reposer ou pratiquer des activités moins fatigantes. Ils prétextent souvent que cela coûte trop cher sans se donner la peine de pratiquer dans des endroits dont l’accès est ouvert à tous, comme les parcours de santé des espaces verts ou les équipements municipaux, qui sont souvent gratuits sous condition de revenus.
4. Les riches font plus attention à l’éducation de leurs enfants que les pauvres
Les riches savent que l’avenir d’un enfant se construit très tôt et ils souhaitent que les leur réussissent. Ils sont donc particulièrement vigilants en ce qui concerne leur éducation. Écoles privées, suivi rigoureux des devoirs, cours particuliers et études dans les meilleures universités, rien n’est laissé au hasard. Les enfants qui grandissent dans des familles qui ont réussi sont initiés très tôt à la lecture et à la pratique d’activités sportives. Leurs parents surveillent également leurs fréquentations pour éviter les dérives.
Les personnes modestes s’occupent généralement peu de la scolarité de leurs enfants. Elles les laissent souvent plus libres de sortir sans s’enquérir de ce qu’ils vont faire, ni avec qui. Ils les incitent moins à travailler, à se cultiver ou à faire du sport et disent souvent qu’il faut profiter de sa jeunesse pour justifier leur comportement laxiste. Un tel manque de suivi qui empêche souvent les enfants issus de telles familles d’avoir une situation meilleure que celle de leurs aînés et de s’assurer un avenir. On observe même, dans certains cas, une régression et une incapacité à devenir autonome sur le plan financier.
5. Les pauvres regardent plus la télé que les riches
Les pauvres passent beaucoup de temps devant la télévision, souvent plusieurs heures par jour, que ce soit pour regarder des programmes de divertissement, des séries ou jouer à des jeux vidéo. Cette activité passive leur fait perdre énormément de temps, alors qu’ils pourraient le consacrer à trouver des solutions à leurs problèmes financiers. La télé-réalité leur donne une vision faussée de la vie en les poussant à rêver de succès rapide et de célébrité, au détriment de valeurs comme le travail et le goût de l’effort. Ils possèdent parfois des abonnements à de nombreuses chaînes qui se révèlent coûteux et pèsent sur leurs finances, les privant de sommes dont ils auraient besoin par ailleurs.
Les riches, eux, n’ont pas de temps à perdre. Ils ne regardent la télévision que pour se tenir au courant via les chaînes d’information ou visionner un documentaire sur un sujet précis. Ils préfèrent se consacrer à d’autres activités plus épanouissantes et utiles que rester assis devant un écran.
6. Les pauvres jouent au jeu de hasard, pas les riches
Les ventes de jeux de hasard affichent une croissance toujours plus importante, particulièrement en ces temps de crise économique. De nombreuses personnes défavorisées y laissent une partie de leur salaire ou s’endettent, dans l’espoir de gager la cagnotte qui leur permettra de changer de vie. Elles ne tiennent pas compte de la très faible probabilité de gain, ni de l’importante somme que le cumul des tickets achetés représente.
Les riches savent que la réussite financière ne doit pas compter sur le hasard. Ils n’utilisent leur argent que pour investir dans des actifs sûrs et gardent toujours la maîtrise de la situation. Lorsqu’ils prennent un risque, celui-ci est calculé et les perspectives de gain se basent sur des données économiques, pas sur du rêve.
7. Les pauvres vivent au-dessus de leurs moyens
Une grande partie des personnes pauvres a tendance à dépenser plus d’argent qu’elle n’en gagne. Certaines sortent chaque week-end dans les bars et les clubs. D’autres ne veulent porter que des vêtements et des accessoires de grandes marques et dépensent sans compter pour être à la pointe de la mode. Les smartphones, télévisions derniers cris et autres consoles de jeux constituent également des postes de dépense important. Autant d’objets qui coûtent cher à l’achat et nécessitent d’être remplacés fréquemment. Lorsqu’ils n’ont pas assez d’argent pour les acheter comptant, les pauvres utilisent leur découvert ou ont recours à des crédits aux taux d’intérêt élevé. Les mauvais gestionnaires de budget sont aussi plus susceptibles d’avoir des habitudes coûteuses, comme fumer ou boire de l’alcool, qui sont, de plus, nocives pour la santé.
Les riches ont compris que pour améliorer sa situation financière, il est indispensable de vivre bien en dessous de ses moyens pour épargner une partie importante de ses revenus. Ils préfèrent avoir des habitudes de vie basées sur la simplicité et évitent d’exhiber leur réussite en dépensant sans compter. Plutôt que d’acheter des objets dont ils n’ont pas réellement besoin, ils placent leurs économies et réinvestissent les bénéfices, ainsi, leur capital augmente.
8. Les pauvres se lèvent et se couchent plus tard que les riches
Ils préfèrent souvent veiller tard pour regarder la télévision, faire la fête ou sortir, au lieu de se coucher tôt pour être en forme le lendemain. Ils se lèvent le plus tard possible et font de longues grasses matinées durant leurs jours de repos. Ce mode de vie décalé ne leur donne pas la possibilité de saisir les opportunités qui pourraient se présenter à eux. Ils ne se fixent pas d’objectifs journaliers et remettent au lendemain ce qu’ils n’ont pas le temps de faire.
Les riches, en revanche, savent qu’une nuit réparatrice permet d’être plus efficace durant la journée. Ils se couchent le plus tôt possible et évitent les fêtes qui durent jusque tard dans la nuit. Le matin, leur réveil sonne avant le lever du soleil, en moyenne plus de 3 h avant le début de leur travail. Le matin étant la période où notre productivité est la plus importante, cela leur permet de faire la plupart des choses qu’ils avaient prévues avant midi. Grâce à cette organisation, ils peuvent dépasser leurs objectifs et libérer du temps pour se cultiver et faire du sport.
Adopter les habitudes des riches ne vous transformera pas en millionnaire du jour au lendemain. Mais, si vous les mettez en pratique sur le long terme, votre situation financière va s’améliorer de façon significative. À force de rigueur et de travail, vous parviendrez à obtenir la réussite matérielle à laquelle vous aspirez. Dans le cas contraire, vous risquez de rester pauvre, ou de le devenir. Pour avoir les meilleures chances de vous enrichir, appliquez les 8 principes suivants au quotidien :
• prenez toujours le plus grand soin de votre santé ;
• lisez chaque fois que vous en avez la possibilité ;
• faites du sport plusieurs fois par semaine ;
• donnez la meilleure éducation possible à vos enfants, si vous en avez ;
• n’abusez pas de la télévision ;
• laissez tomber les jeux de hasard ;
• épargnez chaque mois la plus grande part possible de vos revenus ;
• couchez-vous de bonne heure et éviter de vous lever tard.